Dilemme du kebab viennois : 87 euros pour deux snacks manquants !
Un Viennois de 30 ans a dû payer plus de 87 euros pour une commande Foodora bâclée. Voici les détails.

Dilemme du kebab viennois : 87 euros pour deux snacks manquants !
Vienne connaît actuellement un incident bizarre dans le monde des services de livraison. Un homme de 30 ans a commandé deux kebabs et deux coca via le service de livraison Foodora – et à un prix qui a fait sensation. Au lieu du coût attendu d'environ 43 euros pour la première livraison, le Viennois a reçu une facture d'un montant modique de 87,16 euros. En effet, la première commande n'est jamais arrivée car le fournisseur n'a pas pu trouver l'adresse et l'a marquée à tort comme « livrée ».
Comme le rapporte le jeune homme, les numéros de maison de son complexe d'appartements vont de 55 à 103, ce qui rend la recherche de son appartement un véritable défi. Pour soulager sa faim, il a rapidement passé une deuxième commande, qui a coûté 43,60 euros et est finalement arrivée environ une heure après la première commande. Foodora a confirmé l'incident et a admis qu'il peut parfois y avoir des difficultés avec les adresses dans les grands complexes immobiliers. Il se passe vraiment quelque chose !
Le boom du commerce électronique
Cet incident met également en lumière l’évolution du commerce électronique, qui ne cesse de croître depuis le début du millénaire. Selon les chiffres de Statista, les ventes continuent de croître et les prévisions pour 2024 tablent sur des ventes records, notamment dans l'habillement, l'électronique et les télécommunications. Ce qu'il ne faut pas oublier : les vêtements représentent environ 20 % des ventes totales du commerce électronique B2C, soit une proportion importante.
La majorité des utilisateurs d'achats en ligne utilisent désormais leur smartphone, une tendance qui est également favorisée par la numérisation en cours et les fournisseurs de commerce électronique tels qu'Amazon. Amazon est le leader incontesté des détaillants en ligne en Allemagne, suivi par Otto et MediaMarkt. Plus de 40 % des internautes achètent en ligne au moins une fois par mois, la sécurité étant souvent la principale préoccupation lors des achats en ligne.
Le côté obscur des achats en ligne
Mais la vente par correspondance a aussi ses inconvénients. Les frais de livraison élevés et les problèmes de retour sont des points de critique courants. Le taux de retour de 31 % constitue un problème sérieux, notamment dans le secteur de l'habillement, qui entraîne une augmentation de la quantité de déchets. De plus en plus de consommateurs souhaitent des solutions plus durables, comme des emballages réutilisables. Le commerce électronique ne doit pas perdre de vue ces enjeux, surtout à l’heure où la prise de conscience de la protection de l’environnement s’accroît.
En résumé, si le scandale des services de livraison est un sujet de conversation à Vienne, il montre également à quel point il est important que les clients et les fournisseurs du commerce électronique se concentrent sur la question de l'exactitude des adresses et de la durabilité. Dans un monde où les achats en ligne sont de plus en plus intégrés à la vie quotidienne, de tels incidents peuvent se produire encore et encore, mais comme le vendeur de kebab à Vienne, il y a souvent plus à dire que prévu.
Pour plus d'informations sur les tendances actuelles du commerce électronique, visitez le site Statista et laissez-vous inspirer !
Et pour en savoir plus sur les côtés bizarres de la vie, lisez ce que Ruhr24 a à rapporter. Lorsqu’il s’agit de services de livraison, on n’est jamais trop prudent, n’est-ce pas ?
Enfin, nous ne pouvons qu’espérer que de tels incidents ne deviendront pas la norme et qu’à l’avenir nous pourrons bénéficier non seulement de livraisons rapides mais aussi précises !