Sommet de l’UE : le différend sur Israël et le programme d’armement au centre de l’attention !
Sommet de l'UE à Bruxelles 2025 : stratégies de sécurité, crise du Moyen-Orient et questions migratoires au centre de l'attention. Crucial pour l’avenir de l’Europe.

Sommet de l’UE : le différend sur Israël et le programme d’armement au centre de l’attention !
Le 26 juin 2025, les chefs d'État et de gouvernement européens se sont réunis à Bruxelles pour le sommet d'été de l'UE. Cela a eu lieu immédiatement après le sommet de l'OTAN à La Haye et concernait essentiellement la sécurité et la défense. La situation au Moyen-Orient en particulier a suscité des discussions animées et des opinions divergentes parmi les représentants des dirigeants. Un petit journal rapporte que Treize des points de la déclaration finale du sommet traitaient de ces questions.
Le thème central était le programme SAFE, un nouveau programme de prêts à la défense qui prévoit un financement pouvant atteindre 150 milliards d'euros. La Commission européenne a ainsi ouvert la voie à la fourniture aux États membres de fonds pour investir dans des domaines tels que la défense aérienne et la technologie des drones. La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a souligné l'urgence pour l'Europe d'assumer davantage de responsabilités pour sa propre sécurité. La représentation de l'UE décrit l'accord comme une étape révolutionnaire pour renforcer l'Europe, car les États membres doivent soumettre des plans nationaux dans un délai de six mois, qui seront ensuite évalués par la Commission.
Désaccord sur le Moyen-Orient
Malgré les progrès réalisés dans le secteur de la défense, la situation au Moyen-Orient reste un facteur d’exacerbation des tensions au sein de l’UE. Comment Petits États de journaux, on comprend moins la politique israélienne. Lors du sommet, les chefs de gouvernement espagnol et slovène ont notamment critiqué la catastrophe humanitaire à Gaza et appelé à un cessez-le-feu et à la libération de tous les otages. Ces questions reflètent les divisions plus profondes qui émergent entre les États européens.
Le chancelier autrichien Christian Stocker a également pris la parole et a évoqué les défis liés aux questions relatives aux pays tiers et à la protection des frontières extérieures. Au milieu de ces débats, le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a appelé à une « rébellion » contre les règles migratoires existantes et a opposé son veto à un nouveau paquet de sanctions contre la Russie, mettant encore davantage à l’épreuve l’unité au sein du bloc.
Progrès sur le pacte migratoire
Malgré les divergences dans le domaine de la politique étrangère, il y a également eu des nouvelles positives : la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé des progrès sur le pacte migratoire. Les États membres conviennent qu'une approche commune en matière de migration est essentielle. Le chapitre sur l’Ukraine a été bien accueilli, même si la Hongrie reste sceptique. Le Parlement européen s'occupe également actuellement de la politique de sécurité et de défense renforcer davantage la collaboration et l’efficacité dans ces domaines.
Les défis auxquels l’UE est confrontée sont divers. Alors que l’augmentation des dépenses de défense et l’approche axée sur l’innovation du programme SAFE vont dans la bonne direction, la nécessité d’un consensus interne sur la politique au Moyen-Orient et sur d’autres questions urgentes devient de plus en plus évidente. Reste à savoir comment l’UE se positionnera dans les mois à venir.